samedi 15 octobre 2016

Samedi 15 octobre

Ana est la première à se lever et à
partir. Je pars à  8h10 suivi de Claude. Nous arrivons après 2h de marche à Guemes. Nous continuons sur Galizano où nous prenons le chemin près de l'océan. C'est très beau et il fait une très belle journée. Depuis hier seulement, je suis en pantalon et tee-shirt à manches longues, mais là, je l'ai quitté. Nous mangerons devant l'océan que nous surplombons. Puis nous continuerons sur ce chemin côtier au milieu des herbes de pampa puis sur le sable. Sur la plage, énormément de monde, beaucoup de surfers, quelques baigneurs et promeneurs et des personnes qui prennent le soleil. On tombe en pleine fête des surfers. Je me sens un peu intruse. C'est assez pénible de marcher sur le sable aussi, on est contents d'en sortir. On traverse la ville de Somo pour se diriger vers l'embarcadère. Nous attendrons le bateau qui nous emmène à Santander. La traversée dure une bonne demi-heure. Nous cherchons ensuite l'office du tourisme puis l'albergue des pèlerins. On y retrouve Nori et les filles. Je suis contente de les revoir et du coup, on restera là. On avait plusieurs adresses sur Santander. De plus, la dame est très gentille avec moi, elle nous met dans le dortoir à côté ou nous ne serons que deux. Elle parle l'espanglançais. Moi, c'est plutôt le franglaispagnol. Nous irons visiter la cathédrale où il y a un mariage avec un groupe folklorique qui attend dehors. On attend puisqu' ils se tiennent prêts. Mais les mariés tardent à sortir et on perd patience. Nous partons visiter la crypte de la cathédrale, les jardins, le mercado de l'este, la place et les rues très animées. Je ne sais si la ville a un rapport avec la banque Santander, mais nous avons vu de superbes bâtiments à l'effigie Santander, peut-être la maison mère. Puis nous chercherons un resto où nous mangerons une assiette composée.  Nous rentrons à l'albergue et je discuterais avec Clémence et Wissal, une accompagnatrice avec une jeune fille de 16 ans en difficulté. Et il paraît qu' il y a une autre française Brigitte. Il y a 5 dortoirs dans cet albergue, deux sont remplis, nous on n'est que deux dans le troisième mais tous communiquent et il n'y a pas de portes, ce qui fait qu'on entend les ronfleurs d'à côté. Vive les bouchons d'oreille.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire